La Marche pour le dépôt de la plainte contre ALI BONGO organisée par le Front Unis de l'opposition, parti politique non légalisé réunissant les leaders de l'Union Nationale UN (parti dissous), a été marqué par de nombreuses arrestations et de contre mesures.
Jeudi 13 Novembre, les opposants a Ali Bongo organisent une marche à Libreville dans le bute de déposer une plainte pour faux et usage de faux du Président.
Le Ministère de l'intérieur ayant interdit la marche envoie des forces de l'ordre à tout faire pour stopper le mouvement dite révolutionnaire, mais hélas rien ne peut arrêter la colère d'un Peuple qui aspire au changement.
Les forces de l'ordre dans leur activité, ont utilisé des bombes lacrymogènes créant des douleurs thoraciques et gênes respiratoires des jeunes manifestants ainsi que des leaders de l'opposition entraînant des dérapages incontrôlés. c'est le début des jeux de pierres et Karachi, du feu et de la fumée, des arrestations massives de nombreux jeunes par la police judiciaire ou ils ont passé 3 jours, puis envoyés au commissariat de nkembo et afin présentés au parquet de Libreville pour jugement qui par la suite les libère ce Mardi 18 Novembre 2014 grâce au soutient des leaders du Front de l’opposition.
Le parquet a décidé de libérer les jeunes manifestants par ce que le dossier était vide, pas de motif concret, si ce n'est que l'aspiration au changement de régime et la démission de Président Ali si celui-ci ne présente pas son acte de naissance datant de l'Afrique Equatoriale Française AEF.
D'autres manifestants ont eu des brûlures corporelles au 6ième degré mettant en cause des Gaz lacrymogènes utilisés par les forces de l'ordre. pour rappel, il y a des brûlures corporelles par un gaz type lacrymogène si celui-ci a été utilisé à forte dose, ou d'un mélange d'autre substances.
Au dernière nouvelle de source concordantes, la plainte contre Ali Bongo déposée jeudi par le Front (opposition, ndlr) pourrait être jugée non recevable ce vendredi par la justice gabonaise. parce qu'elle contiendrait des irrégularités qui ne sont pas énumérés pour l'instant. et celle déposée par les autorités gabonaises au parquet de Paris semble être sur de bonne voie et qu'une équipe de juges d'instruction seraient en séance de travail à Lyon pour archivés les document administratifs de l'AEF pour que la vérité soit révélée au grand jour.
Affaire a suivre avant 2016.ici et ailleurs ...
<<Ne demande pas ce que le pays fait pour toi, mais ce que tu fais pour le pays>>