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Darlène Boussougou Moundounga nouvelle victime d'un crime rituel d'une obscure église Gabonaise. C'est l'info qui fait la une au Gabon ce matin tout en donnant aussi froid dans le dos que les aveux des auteurs de ce crime macabre. 

Horreur inqualifiable à Libreville. Lundi dernier le Bureau de Transition de l'UJPDG-France a été indigné, choqué et atterré d'apprendre que le corps d'une jeune femme de 22 ans qui avait disparu depuis deux semaines a été retrouvé, suite à une plainte déposée par sa famille et enquête menée par la police judiciaire, dans une maison jouxtant une église dite du "christianisme céleste" dans le quartier dit "PK5" dans le troisième arrondissement de Libreville.

Selon les faits rapportés par le quotidien gabonais l'Union, ces derniers remontent au 28 août dernier quand est demandé sur ordre d'un pasteur dénommé Joseph Mouketou, qui dirige une église du christianisme céleste, à Rodrigue Assoumou, un jeune gabonais de 27 ans, de, selon les révélations faites par ce dernier devant la police judiciaire, trouver, pour une finalité de rituel, une jeune femme à sacrifier et ce en échange d'une promotion au grade d'évangéliste de tutelle et de l'obtention d'une puissance au sein de l'église dans laquelle il priait .


C'est pour ses raisons que le jeune homme, selon ses aveux livrés à la PJ ce lundi soir, a décidé de livrer sa petite amie, Darlène Boussougou Moundounga qu'il tuera par la suite chez lui avec l'aide du pasteur et de son fils lors d'une séance de rituel nocturne, séance durant laquelle le pasteur abusera, avant la mort, de la jeune fille pendant que son fils, Rodolph-Franck Mouketou lisait des psaumes d'un livre dit de Camaêl.

Le corps, nu et ligoté, de la défunte, qui avait été ensevelit, a été retrouvé gisant dans un trou d'un mètre de profondeur, creusé par les bourreaux, par les enquêteurs de la PJ conduits sur les lieux par le petit ami meurtrier.

Ce dernier qui au préalable poussera le cynisme à son paroxysme en allant jusqu'à participer, aux côtés de la famille inquiète de la disparition de leur fille, aux recherches.

En réaction passionée, les proches de la victimes ont violemment pris d'assaut l'église et y ont quasi tout cassé, le quartier fut ensuite envahi par une foule, pour la plupart constituée de badauds, créant un embouteillage monstre aux abords du quartier de la banlieue de la capitale gabonaise.


La procureur de Libreville, Sidonie Flore Ouwé, présente sur les lieux ce lundi, a annoncé un approfondissement de l'enquête pour déterminer les circonstances exactes de la mort de Darlène Boussougou Moundounga.

Les crimes rituels sont monnaie courante dans un Gabon ou créer une église revêt d'une démarche aussi simple que de se créer un adresse mail.

Ces derniers défraient, au delà de l'aspect fait divers, régulièrement la chronique et déjà les voix s'élèvent sur le fait que, pour l'heure, compte tenu de ces facilités dénoncées par bon nombre d'observateurs qui par ailleurs pointent régulièrement du doigt la passivité des autorités face aux crimes rituels, le ministre de l'intérieur, en charge du dossier des implantations religieuses, n'est officiellement publiquement réagit.

 

la question se pose au niveau d'ouverture des Eglises Dites du reveille et le type de Pasteur qui posent les mains "modites" sur les corps saints. ceci doit faire office à tout ceux qui jusque là ne comprennent pas qu'un PASTEUR N'EST PAS TON DIEU

 

@Debomame.

Tag(s) : #Gabon
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