L’enseignement de l’histoire du Peuple Afrikara ne doit pas être le label des pseudos enseignants des universités.
Nous constatons des dérives sur l’histoire de notre peuple dans l’enseignement moderne ceci dû à un enseignement non authentique. A ce titre nous renvoyons ses professeurs à l’école des anciens comme : Akué Obiang, Mvome Eko’o, Grégoire Biyogho, Tsira Ndong, … qu’ils apprennent bien afin d’éviter de raconter des choses abominables pas pour nous, mais pour des générations futures.
L’histoire ci-dessous c’est passée à Libreville, au PK5
Pendant une réunion des parents d’élève qui venait de commencer,
Une conversation s’éclate entre un papa « âgé d’une soixantaine d’années » et notre équipe :
PAPA : Bonsoir les enfants
Nous : Bonsoir Papi
PAPA : héééé, vous etes FANG ?
Nous : comme tu peux le constater de par notre conversation
PAPA : vraiment donc vous « Fang) êtes encore dans ce Gabon… bon ?
Nous : Oui Papa nous sommes là ça va
PAPA : non ça va pas, j’ai appris que l’histoire des FANG « histoire d’un peuple : Ayong » ce raconte déjà à l’université
Nous : Oui papa se raconte assez et partout dans le monte, nous sommes un grand peuple, … non ?
PAPA : Non vous etes un peuple de valeur, un peuple digne, un peuple qui n’a pas connu des tortures de l’esclavagisme et de part ça fierté continue son chemin tracer par des anciens… aujourd’hui, on me dit que c’est ATOZ RataaannGA ‘avec beaucoup de dédain’ qui enseigne aux EKANG leur propre histoire tout en affirmant que « les fangs sont venus par l’Ogooué … étaient aussi esclaves »
Il a appris ça ou et par qui, hé Tsira NDONG, hé Grégoire…, n’avez-vous pas fait du bon boulo a ses autres NOUS, je vous pose la question chers enfants, est ce que Atoz Raaaataaanga, peux dire qu’un colon a traversé la foret de Ndjolé (Ville du Gabonsitué entre le Grand-Nord et l’estuaire) et venir au pays des Fang ? Qui pouvait traverser cette immense foret derrière lequel nous étions en paix, JE VOUS REPOND PERSONNE MEME PAS UN MOUCHE et on vient raconter n’importe quoi dans les médias lors de la journée d’abolition de l’esclavage et l’indépendance du Gabon :
Quand ils sont allé dans les pirogues et les paquebots, est ce que nous étions avec eux, le peuple EKANG n’a jamais été esclave du colon, c’est le colon qui a été notre esclave pendant le règne de Léon MBA (1ier président du Gabon), nous étions chefs, audacieux c’est pourquoi nous ne laissons personne monter sur nous, nous ne laissons pas notre lutte celle d’arriver à la terre promise (Pays des enfants Afrikara et du soleil levant)… le colon n’avait pas de route, il se déplaçait sur l’Ogooué et lacs, alors…. Laissez les enfants, laissez-les dans la nullité.
PAPA : je tenais à vous éclaircir sur ses depux points afin que vous ne soyez pas détourner de votre objectif, que chacun sache ce qu’il a à faire et apporter dans la communauté Ekang N’naa car d’autre nous regardent, les morts nous regardent, NZAMA (Dieu) nous regarde. Allez continuer la réunion moi je vais rentrer, pensez-y…
Nous : Merci papa bonne route et porte toi bien, nous prenons notes et étudierons pour des générations futures
PAPA : hummm, étudier, étudier quoi…. Pratiquer et appliquer c’est tout…kiakiakia
Par ce récit une nouvelle démonstration vient de voir le jour sur les dérives de certains enseignements des universités, il est encore temps de rémédier ces petits manquements et ajuster l’ajustable.
Le peuple Ekang connait beacoups de choses et peu de personne « étrangère » connaissent peu de choses sur eux !
@zuedebomame